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    Volontairement passées sous silence, les informations concernan les ravages des substances cancérigènes contenues dans les pesticides sont enfin révélées au grand jour. On dénombre déjà des centaines de victimes chez les agriculteurs. Les consommateurs seront les prochaines victimes.

    Il aura fallu le cas de Dominique Marchal pour que l’un des plus gros secrets industriels soit enfin révélé. Cet agriculteur vosgien souffre depuis 2003 du syndrome myéloprolifératif, une multiplication anormale de plaquettes sanguines, responsable à terme, de leucémie aiguë. Or ce cancer assez rare est répertorié plus particulièrement chez les employés des raffineries, exposés au benzène.

    Les époux Marchal soulèvent alors la question : Et si les pesticides qu’ils emploient depuis plus de vingt ans contenaient du benzène ? Ils interrogent les fabricants sans obtenir de réponse.

    Ils lancent alors une procédure judiciaire, qui au terme d’une analyse positive révélant la présence de benzène dans des bidons stockés sur l’exploitation agricole, qualifie le cancer de D. Marchal comme maladie professionnelle.

    Une victoire sans précédent qui a relancé le débat sur la toxicité des pesticides, pour les agriculteurs et pour les autres…

    La France, premier utilisateur de pesticides en Europe !!!

    Déjà en 2001, la Mutualité sociale agricole (MSA) avait obtenu le retrait de produits à caractère cancérigène comme l’arsenic de soude, largement utilisé en viticulture.

    En 2005, les experts reconnaissent que les agriculteurs sont la population la plus exposée aux produits phytosanitaires (plus couramment appelés pesticides) utilisés pour combattre les mauvaises herbes (herbicides), les champignons (fongicides) et les insectes (insecticides).

    Grâce à des études épidémiologies le lien pesticide/cancer a, en effet, été démontré !

    Les conclusions sont claires : les agriculteurs développent des cancers spécifiques comme le cancer de la prostate, de l’estomac, la leucémie, les myélomes, le lymphome malin, les cancers cérébraux ou cutanés.

    Danger pour tous

    Les chercheurs révèlent également que les femmes travaillant « à la ferme » développent plus de cancers du sein. Du coup, certains experts s’interrogent enfin sur l’exposition de la population aux pesticides, car les agriculteurs ne sont pas les seuls utilisateurs de ces produits toxiques.

    Jardiniers professionnels et amateurs ne sont pas avares de pesticides. Et quand on sait que les molécules de pesticides sont également présentes dans beaucoup de produits domestiques, il y a vraiment de quoi s’inquiéter.

    À titre d’exemple et selon l’épidémiologiste Pierre Lebailly, «un antimoustique en flacon qui diffuse pendant vingt nuits représente 2 000 fois la dose que vous absorbez en buvant une eau contaminée»
    (source Bulletin des agriculteurs, avril 2005).

    Fruits et légumes toxiques

    Ainsi, notre terroir se révèle une source de pollution et de toxicité extrêmement dangereuse pour qui le cultive. Quid, dans ce cas, des consommateurs ? Ici encore, le constat est accablant.

    Une étude américaine a démontré, il y a quelques mois, que la concentration de pesticides retrouvés dans les urines d’enfants scolarisés dans le primaire diminuait lorsque ces derniers étaient alimentés avec des fruits et légumes bio.

    Quel dilemme pour qui veut suivre les conseils des cancérologues qui recommandent de manger environ 600 g de fruits et légumes par jour.

    Car les fruits et légumes les plus couramment consommés ne sont pas bio et sont de véritables réservoirs de substances cancérigènes qui à doses répétées, même si elles sont infimes, sont un véritable poison pour l’organisme.

    Se protéger du cancer en mangeant plus de fruits et légumes pour finalement avoir plus de risque de développer un cancer : la belle farce !!!!!!



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  • C’est un joli pavé dans le pot de yaourt que vient de lancer un chercheur français dans le numéro de septembre 2009 de la prestigieuse revue scientifique Nature. Pour Didier Raoult, patron du laboratoire de virologie de la Timone, à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux probiotiques que l’on nous fait avaler depuis près de vingt ans auraient une grosse part de responsabilité dans l’épidémie d’obésité qui frappe les enfants.

    Les probiotiques que Danone ajoute à tout-va dans divers yaourts sont ces bactéries censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1 milliard par pot d’Activia ou d’Actimel. Le hic est que « ces bonnes bactéries actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire engraisser rapidement cochons et poulets. Un porc ainsi gavé de probiotiques, c’est plus de 10 % de gagnés sur la balance. Danone pousse donc à « élever » nos enfants comme des cochons ou des poulets… En vue de les manger ensuite ?????

    En fait, en début d’année, des chercheurs ont eu l’idée de comparer la flore intestinale des obèses et des non obèses. Et, surprise ! les premiers étaient bourrés de probiotiques – ceux qu’on trouve justement dans les yaourts Santé Plus. Didier Raoult commente : «On a autorisé pour l’alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l’effet sur les enfants. » Du coup, celui-ci réclame maintenant des études pour connaître le rôle précis de la totalité des produits lactés dans l’épidémie d’obésité infantile.

    Nota. Depuis le temps qu’on dit que les produits laitiers c’est de la m… pour la santé et que leur seule utilisation logique prévue par la nature, c’est de faire pousser les veaux des vaches. Et le calcium ? Mensonge commercial. Renseignez-vous… seules les populations du monde qui ne consomment pas de produits laitiers n’ont aucun problème de calcium ! 


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